Autrefois, Eli et Victor étaient les meilleurs amis du monde. Mais cette époque est bien finie.
Elle est même… morte et enterrée.
À la fac, Eli le brun et Victor le blond partagent la même chambre. Ils sont inséparables et pourtant absolument aux antipodes l’un de l’autre. Victor, c’est l’ombre : complexe et torturé, il passe ses journées à noircir les ouvrages de développement personnel de ses parents pour laisser apparaître des slogans d’un pessimisme saisissant. Eli, c’est la lumière – un garçon fascinant, doté de toutes les qualités, charismatique et solaire. Pourtant, sous la surface lisse du visage parfait de son ami, Victor entrevoit des démons inavouables. Et il n’est pas au bout de ses surprises…
Car un jour, Eli fait la découverte du siècle : des pouvoirs surhumains semblent se manifester chez ceux qui ont subi une expérience de mort imminente. On les appelle des EO – pour ExtraOrdinaires. Aveuglés par l’ambition et la curiosité, les deux amis se lancent un défi insensé : celui de frôler la mort pour percer ce mystère. Malheureusement, leur tentative tourne au désastre. Dix ans plus tard, Victor croupit en prison, tandis qu’Eli est acclamé en héros. Mais ce que le monde entier ignore, c’est que le véritable monstre rôde dehors, en toute liberté…
Shane has been doing college all wrong. Pre-med, stellar grades, and happy parents : sounds ideal, but Shane's made zero friends, goes home every weekend, and romance... what's that?
Her life has been dorm, dining hall, class, repeat. Time's a ticking, and she needs a change - there's nothing like moving to a new country to really mix things up. Shane signs up for a semester abroad in London. She's going to right all her college mistakes : make friends, pursue boys, and find adventure!
Easier said than done. She is soon faced with the complicated realities of living outside her bubble, and when self-doubt sneaks in, her new life starts to fall apart.
Shane comes to find that, with the right amount of courage and determination one can conquer anything. Throw in some fate and a touch of magic - the possibilities are endless.
Traduction libre
Shane a échoué l'université. Étudiante au programme préparatoire de médecine, bulletins de notes irréprochables, parents ravis : la situation semble idéale, mais Shane ne s'est fait aucun ami, retourne à la maison chaque fin de semaine et sa vie amoureuse... C'est quoi ça ?
Sa vie se résume aux dortoirs, cafétéria, classes, répéter. Le temps avance et elle a besoin d'un changement - et il n'y a rien comme déménager de l'autre côté de l'océan pour bouleverser ses habitudes. Shane s'inscrit pour une session d'échange à Londres. Elle a bien l'intention de rectifier toutes ses erreurs : se faire des amis, séduire quelques garçons et vivre des aventures !
Plus facile à dire qu'à faire. Elle est rapidement confrontée à la réalité d'une vie en dehors du confort de sa bulle et quand les doutes commencent à s'immiscer dans sa tête, sa nouvelle vie s'effondre sous ses yeux.
Shane devra apprendre qu'avec la bonne dose de courage et de détermination, n'importe qui peut surmonter n'importe quoi. Avec un coup de pouce du destin et une touche de magie, les possibilités sont infinies.
Personne ne sait ce qui est arrivé au prodige pop-rock Eric Thorn.
Son compte Twitter ? Bloqué.
Son portable ? Enterré dans la neige, l’écran brisé et maculé de sang.
Tessa Hart, fangirl agoraphobe, connaît la vérité, mais elle a définitivement tourné la page #Tessa♥Eric. Plus question de toucher à son compte Twitter. En revanche, Snapchat… c’est beaucoup plus sûr, non ?
Après avoir fait profil bas pendant des mois, Tessa sort de sa cachette, forcée d’affronter les fantômes de son passé…
Starr a 16 ans, elle est noire et vit dans un quartier difficile, rythmé par les guerres de gangs, la drogue et les descentes de police.
Tous les jours, elle rejoint son lycée blanc situé dans une banlieue chic; tous les jours , elle fait le grand écart entre ses deux vies, ses deux mondes.
Mais tout vole en éclats le soir où son ami d'enfance Khalil est tué. Sous ses yeux, de trois balles dans le dos. Par un policier trop nerveux. Starr est la seule témoin. Et tandis que son quartier s'embrase, tandis que la police cherche à enterrer l'affaire, tandis que les gangs font pression sur elle pour qu'elle se taise, Starr va apprendre à surmonter son deuil et sa colère; et à redresser la tête.
Ça faisait un moment que j'avais envie de lancer une série qui me pousserait à dépasser les limites de ma zone de confort culturelle.
Par le passé, j'ai eu beaucoup de plaisir à écrire des articles de recommandations sur la culture québécoise ou sur la poésie, alors je me suis dit que ça serait une bonne idée de reproduire plus souvent l'expérience avec d'autres ''sujets d'étude'' vers lesquels je suis moins portée en temps normal : les romans policiers, les vieux films, les mangas, les biographies...
Cette fois-ci, c'est vers les comédies musicales que j'ai eu envie de me tourner, considérant que j'ai en énormément regardé dans la dernière année.
Pour la petite histoire, il faut savoir que j'ai toujours détesté les comédies musicales. Je ne voyais pas comment on pouvait ''croire'' à une histoire et s'y investir quand tous les personnages connaissent miraculeusement les chorégraphies par hasard ; autant regarder une comédie romantique pour avoir la même dose de kitsch/ringardsans devoir se taper les chansons insupportables. Même plus jeune, la mode High School Musical m'est passé 10 pieds par dessus la tête.
Je suis même allée voir Mamma Mia sur Broadway à NY il y a quatre ans et, pour tout vous dire, je n'en garde pratiquement a u c u n souvenir. (Je sais.)
Et puis l'été dernier, je suis allée voir - un peu à reculons - une projection en plein air du film The Greatest Showman.
Oh.
J'ai trippé solide.
Je n'avais pas fait 10 min dans le film que j'avais déjà développé
beaucoup **trop** d'émotions pour les personnages.
J'ai écouté la soundtrack sans arrêt pendant 1 mois.
Un an plus tard, j'ai écouté 9 comédies musicales.
J'ai une playlist de 170 chansons que je fais jouer en boucle
durant les fins de session à l'université.
Voici mes impressions.
The Greatest Showman
avec Hugh Jackman, Michelle Williams, Zac Effron, Zendaya et Keala Settle.
Note : 19/20, gros coup de cœur ♥
Musique : 20/20, mes chansons préférées étant Never Enough, Tightrope et A Million Dreams.
Chorégraphies : 19/20, mes préférées étant celles de Rewrite the Stars et From Now On.
Histoire : 16/20, parce qu'il manquait parfois de tension dirigée vers la fin de l'histoire, dans le sens qu'on ne savait pas trop où ça se dirigeait.
J'ai adoré l'ambiance de l'histoire, centrée autour d'un cirque de curiosités des années 1870 et de son propriétaire, P.T. Barnum (lequel a vraiment existé, si vous ne le saviez pas ^^). J'ai littéralement craqué dès les premières scènes, où l'on voit la rencontre entre le personnage principal et sa future épouse. C'était adorable, les jeunes acteurs qui interprétaient Barnum et Charity étaient PARFAITS, j'aurais pris un film complet juste sur eux. La suite du film était tout aussi géniale, j'ai été épatée par la qualité de la cinématographie. Un succès tout à fait mérité.
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Les Misérables
avec Hugh Jackman, Anne Hathaway, Russell Crowe, Amanda Seyfried et Eddie Redmayne.
Note : 17/20
Musique : 15/20, mes chansons préférées étant Do You Hear the People Sing ?, In My Life et At the End of the Day.
Chorégraphies : Il n'y en a pratiquement aucune.
Histoire : 18/20. Je ne pourrais pas dire si elle est fidèle au roman de Victor Hugo, mais je l'ai trouvée très bien transposée à l'écran considérant sa complexité et la quantité de personnages.
L'histoire, qui se déroule en France entre 1815 et 1832, suit les personnages principaux du célèbre roman de Victor Hugo. Si le film ne comporte aucune chorégraphie (à peine quelques mouvements synchronisés avec la musique), il faut savoir qu'il est chanté à 95%. La plupart des chansons sont très bonnes et font leur petit effet dramatique, mais d'autres, plus parlées, peuvent devenir un peu lourdes à la longue. J'ai fortement apprécié la teneur historique de l'histoire et les performances des acteurs, qui étaient magnifiques. Anne Hathaway, tout particulièrement, m'a soufflée.
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Hamilton : An American Musical
de Lin-Manuel Miranda.
** J'ai seulement écouté les chansons**
Musique : 16/20, mes chansons préférées étant Aaron Burr, Sir, Dear Theodosia, Take a Break, Immigrants (We Get The Job Done), une chanson de The Hamilton Mixtape... Enfin, je crois ^^' Difficile à dire quand j'écoute la playlist sans jamais regarder les titres, haha !
Petite exception au reste de la liste : Hamilton n'a jamais été adapté pour le grand écran et je n'ai pas eu l'occasion d'aller voir la comédie en live sur Broadway. Je ne connais donc pas vraiment l'histoire, même si j'en connais quelques bouts. J'ai peut-être l'intention d'essayer de m'acheter des billets pour aller les voir lors de leur tournée à Ottawa (dès le mois de mai 2020, apparemment), mais ce n'est pas encore fait. Je ne connais donc pour l'instant que la playlist, mais je l'apprécie énormément, surtout pour faire mes travaux d'université :)
Quelques vidéos disponibles en ligne, pour se donner une idée :
**avec un discours des Obama au début**
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La belle et la bête
avec Emma Watson, Dan Stevens, Luke Evans et Ian McKellen.
Note : 14/20
Musique : 10/20, du moins pour les traductions françaises. Pour avoir écouté quelques chansons en VO, j'aurais peut-être monté la note, mais pas plus qu'à 12/20.
Chorégraphies : 11/20... Je n'ai pas été impressionnée.
Histoire : 15/20. Je me suis quand même plus attachée aux personnages que ce que j'avais prévu.
J'ai beau adorer Emma Watson, The Beauty and the Beast est le film qui m'a rappelé pourquoi je n'aimais pas les comédies musicales... ni Disney (tiens, ça pourrait faire un autre sujet d'article). Des personnages trop caricaturaux, des chansons manquant d'émotions, un conformisme généralisé (ou presque) dans la cinématographie. Céline Dion dans le générique, c'était la goutte pour faire déborder le vase du quétaine/ringard/appelez ça comme vous voulez. Bon, je ne me suis pas non plus fait chier à regarder le film, mais vous comprendrez qu'il ne m'a pas particulièrement touchée.
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Mamma Mia et Mamma Mia : Here We Go Again
avec Meryl Streep, Amanda Seyfried et Lily James.
Note : 17/20
Musique : 18/20 pour le premier film, 17/20 pour le deuxième. Mes chansons préférées sont When I Kissed the Teacher, Mamma Mia, Lay All Your Love on Me, Waterloo, Take A Chance On Me.... Ok, clairement je ne peux pas choisir.
Chorégraphies : 16/20.
Histoire : 15/20 pour le premier film, 18/20 pour le deuxième film (et surtout pour les parties avec Lily James ♥).
Soyons honnête, je regrette tellement de ne pas avoir regardé les films plus tôt. La musique de ABBA fonctionne à la perfection avec l'histoire, impossible de ne pas danser partout en s'imaginant sur la plage (même si c'est pour faire la vaisselle). L'histoire du premier film est bien un peu kitsch, mais j'ai complètement adoré celle du deuxième film (qui raconte la jeunesse de Donna). Lily James m'a jetée par terre et les 3 acteurs qui jouaient Bill, Harry et Sam étaient vraiment pas mal. Et le plus beau, c'est que l'on connaît déjà la plupart des chansons avant même d'avoir écouté le film, mais que ce dernier ne fait que leur rajouter une autre couche de sens. Vraiment excellent, je n'ai pas fini de fredonner les chansons !
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La La Land
avec Emma Stone, Ryan Gosling et John Legend
Note : 17/20
Musique : 17/20, mes chansons préférées étant City of Stars (évidemment), Another Day of Sun, Mia and Sebastian's Theme.
Chorégraphies : 19/20.
Histoire : 15/20 au départ, mais 17/20 avec du recul.
J'ai d'abord terminé le film en étant un peu déçue parce que je n'avais pas été aussi touchée par l'histoire que ce que j'avais prévu (vu les critiques et les commentaires que j'avais reçus). Toutefois, avec du recul, quelques recherches et un peu de réflexion, mon opinion du film s'est grandement améliorée, notamment par rapport aux scènes un peu déconnectées/surréalistes. En effet, l'expression La La Land désigne non seulement Hollywood, à Los Angeles, mais aussi ''une situation déconnectée de la réalité'', ce qui a tout de suite fait beaucoup plus sens à mes yeux. En ce sens, la fin du film est à la fois absolument magnifique et terriblement triste. Enfin, chapeau à la direction artistique, les couleurs et les cadrages du film sont tout simplement géniaux.
Fun fact : Avant Emma Stone et Ryan Gosling, c'était apparemment Emma Watson et Miles Teller qui étaient prévus pour jouer les rôles de Mia et Sebastian. J'aurais CRIÉ (de joie). Les plans ont changé quand Emma Watson a accepté son rôle pour The Beauty and the Beast.
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Across the Universe
avec Jim Sturgess, Evan Rachel Wood, Joe Anderson et Dana Fuchs.
Note : 15/20
Musique : 15/20... Comme pour Mamma Mia/ABBA, toute la musique du film Across the Universe provient de la discographie des Beatles. Toutefois, j'ai trouvé que les gros GROS succès des Beatles n'étaient pas assez exploités et c'est peut-être ce qui m'a déçue (alors que j'ai adoré les scènes avec Hey Jude ou Let it be, par exemple).
Chorégraphies : 15/20
Histoire : 16/20
Je suis une fan assez récente des Beatles, mais je crois avoir utilisé la dernière année à bon escient pour rattraper mon retard. J'étais donc beaucoup trop heureuse quand ma coloc m'a parlé de ce film : franchement l'une des meilleures bandes-annonces que j'ai vues de ma vie, elle m'a subjuguée et fait pleurer en moins de 3 min (ok, la fatigue de la fin de session est très certainement à mettre en cause). Quoi qu'il en soit, mes attentes étaient très, TRÈS hautes. Au final, j'ai été un peu déçue, mais surtout par les nombreuses scènes psychédéliques de drogue (nous sommes dans les années 70) qui n'avaient souvent rien à voir avec l'esthétique du film. J'aurais aussi pris plus des gros hits des Beatles, mais pour le reste, j'ai été assez satisfaite : belle histoire, bons acteurs (Jim Sturgess ressemble TELLEMENT à Paul McCartney :o)... Contre toute attente, la fin m'a finalement eu comme le trailer, j'ai fondu en larmes à la dernière scène. En somme, une belle découverte si vous aimez les Beatles !
La fameuse bande-annonce :
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A Star is Born
avec Lady Gaga, Bradley Cooper et Sam Elliott.
Plus un film musical qu'une réelle comédie musicale, mais bon.
Note : 15/20
Musique : 15/20, mais 21/20 pour Shallow et Always Remember Us This Way. (Le problème est que ces deux chansons sont tellement bonnes que les autres passent dans le beurre en comparaison).
Chorégraphies : Aucune.
Histoire : 16/20
Je crois qu'on tient ici un autre film pour lequel j'avais beaucoup trop d'attentes. Certaines de mes amies m'avaient pourtant averti, mais je n'avais pas peur du drame et j'avais confiance en Shallow. Le problème est que les autres chansons n'arrivaient finalement pas à la cheville de Shallow et que ma scène préférée reste celle composant le vidéoclip de Shallow. Oui, j'ai une obsession pour Shallow, haha. Bref, le reste n'est pas mauvais, mais j'aurais pu m'en tenir au vidéoclip et j'aurais été satisfaite aussi. Le reste de l'histoire était assez classique/prévisible et je ne me suis pas autant attachée aux personnages que je l'aurais voulu.
En bonus, voici les seules autres comédies musicales que j'avais réellement apprécié avant cette année et avant The Greatest Showman :
Le secret ? Faire un titre commençant par la lettre G.
Les prochaines comédies musicales que je compte regarder :
« Je ne suis pas nostalgique de notre enfance : elle était pleine de violence. C’était la vie, un point c’est tout : et nous grandissions avec l'obligation de la rendre difficile aux autres avant que les autres ne nous la rendent difficile. »
Elena et Lila vivent dans un quartier pauvre de Naples à la fin des années cinquante. Bien qu’elles soient douées pour les études, ce n’est pas la voie qui leur est promise. Lila abandonne l’école pour travailler dans l’échoppe de cordonnier de son père. Elena, soutenue par son institutrice, ira au collège puis au lycée. Les chemins des deux amies se croisent et s’éloignent, avec pour toile de fond une Naples sombre, en ébullition.
Un autre monde vous attend, là, de l'autre côté du mur...
Kell est un magicien de sang, un sorcier capable de voyager d'un monde à l'autre. Des mondes, il y en a quatre, dont Londres est, à chaque fois, le cœur et l'âme. Le nôtre est gris. Le deuxième, rouge, déborde de magie. Dans le blanc, elle s'est faite bien trop rare quand, dans le noir, elle a tout dévoré. Et le fléau s'apprête à contaminer chacun des univers jusqu'au dernier – ce n'est plus qu'une question de temps...
Car les ténèbres ont déjà commencé à s'étendre sur le flamboyant Londres rouge. Les habitants en sont réduits à choisir entre céder aux sirènes dévastatrices de la magie et entamer contre elle une lutte désespérée jusqu'à la mort. Si Kell semble immunisé contre le poison qui gangrène son royaume, la fin le guette, lui aussi... à moins que des alliés inattendus ne le rejoignent dans la bataille. À commencer bien sûr par Lila, qui ne raterait pour rien au monde une occasion de partir à l'aventure et faire étalage de sa puissance. Mais, aussi intrépides qu'ils soient, comment de simples magiciens pourraient-ils faire le poids face à l'incarnation même de la magie ?